Marcher les nuits de songes
En pensant à ces refrains
Marcher au bords des eaux profondes
Et croire aux lendemains
La médisance pour compagne
Qui oeuvre toujours dans le silence
L'hyprocrisie en guise de pagne
Qui taille sous l'eau qui danse
Voir sur les chemins d'errance
Qu'il n'y de place que pour ceux
Qui osent ces pas de danse
et qui pousse le guerrier à la violence
Chercher les mystères du grimoire
Telle est la quête incensée
Du promeneur d'une nuit d'été
Qui rêve à une vie illusoire.
Michael Chlon
Poèmes abandonnés ...
vendredi 25 juin 2010
dimanche 20 juin 2010
Histoires de ...
Histoire de voir la misère
On touche les mains asservies
Histoire de croire aux chimères
On se dit que rien n'est fini
Histoire de voir le globe et ses beautés
On coure au antipodes, affairé
Histoire de voir toutes ces larmes versées
On se dit qu'on a son utilité
Histoire de donner un sens à ses pas
On se dit qu'il faut mener certains combats
Histoire de s'affubler de dorures
Ils oublient que briller, n'est qu' usure
Histoire de voir dans ses yeux le bonheur
Il est prêt à faire de sa vie un labeur
Histoire de ne jamais la voir en pleurs
Il la suit sur son chemin, rêveur.
On touche les mains asservies
Histoire de croire aux chimères
On se dit que rien n'est fini
Histoire de voir le globe et ses beautés
On coure au antipodes, affairé
Histoire de voir toutes ces larmes versées
On se dit qu'on a son utilité
Histoire de donner un sens à ses pas
On se dit qu'il faut mener certains combats
Histoire de s'affubler de dorures
Ils oublient que briller, n'est qu' usure
Histoire de voir dans ses yeux le bonheur
Il est prêt à faire de sa vie un labeur
Histoire de ne jamais la voir en pleurs
Il la suit sur son chemin, rêveur.
Libellés :
Textes sous Copyright. 20/06/2010
lundi 5 avril 2010
Chemins de traverse
A vouloir trop croire
On ne remplit que des mouchoirs
A chercher la perfection
On ne trouve plus les émotions
On s'égare sur des chemins
Qui font fi des lendemains
On s'égare dans des regards
Qui se concluent en désespoir
A souffler sur les voiles
On découvre souvent le néant
Mais quand il suit son étoile
L'homme croît inconsciemment
Vivre, c'est croire et s'engager
S'accrocher aux pentes ardues
Vivre, c'est vouloir et aimer
Même si rien n'est plus.
On ne remplit que des mouchoirs
A chercher la perfection
On ne trouve plus les émotions
On s'égare sur des chemins
Qui font fi des lendemains
On s'égare dans des regards
Qui se concluent en désespoir
A souffler sur les voiles
On découvre souvent le néant
Mais quand il suit son étoile
L'homme croît inconsciemment
Vivre, c'est croire et s'engager
S'accrocher aux pentes ardues
Vivre, c'est vouloir et aimer
Même si rien n'est plus.
Libellés :
Textes sous Copyright. 05/04/2010
lundi 29 mars 2010
Destinées
C'est à contempler le vide
Que l'on mésure l'absence
C'est dans ce néant qu'on décide
Qu'observer, c'est l'essence
Tourne, Ô destin funeste
Enjoue les plumes sêches
Déploie tes ailes si lestes
Crie aux quatre vents, cette prêche
Fais danser la dame aux pinceaux
Montre lui l'aube du renouveau
Montre lui les manèges enchantés
Qu'elle sourie enfin, pour ne plus errer
Je veux voir ses yeux se mirer
Dans les eaux des belles destinées
Je ne veux voir ses pas dessiner
Le chemin d'une vie sans teint.
Que l'on mésure l'absence
C'est dans ce néant qu'on décide
Qu'observer, c'est l'essence
Tourne, Ô destin funeste
Enjoue les plumes sêches
Déploie tes ailes si lestes
Crie aux quatre vents, cette prêche
Fais danser la dame aux pinceaux
Montre lui l'aube du renouveau
Montre lui les manèges enchantés
Qu'elle sourie enfin, pour ne plus errer
Je veux voir ses yeux se mirer
Dans les eaux des belles destinées
Je ne veux voir ses pas dessiner
Le chemin d'une vie sans teint.
Libellés :
Textes sous Copyright. 29/03/2010
lundi 15 mars 2010
Une larme de toi
Dans une larme de toi
J'irai sans foi, ni loi
J'irai aux quatre vents
Défier tous les déments
Dans une larme de toi
Je ne vois qu'une vie de soie
Et où, joue contre joue
On se murmure tous les tabous
Dans une larme de toi
j'y verrai un de ces faux-pas
Qui ramène le chagrin des confins
Et me laisse seul au réveil du matin
Dans une larme de moi
Tu reviendras à petits pas
Tu maudiras ces filles de joie
Tu pardonneras que je ne sois roi
J'irai sans foi, ni loi
J'irai aux quatre vents
Défier tous les déments
Dans une larme de toi
Je ne vois qu'une vie de soie
Et où, joue contre joue
On se murmure tous les tabous
Dans une larme de toi
j'y verrai un de ces faux-pas
Qui ramène le chagrin des confins
Et me laisse seul au réveil du matin
Dans une larme de moi
Tu reviendras à petits pas
Tu maudiras ces filles de joie
Tu pardonneras que je ne sois roi
Libellés :
Textes sous Copyright. 14/03/2010
samedi 30 janvier 2010
El Condor
Je te regarde ma terre craquelée
Celle qui m'a vu naître un matin d'été
Ils ne comprennent que le trépas
Alors que ta beauté n'est pas là
Je me souviens de ces vols aux confins
qui, jadis, soulageaient mes chagrins
Je me souviens de ces contrées fertiles
qui, serpentaient sous mes ailes agiles
Je te regarde, toi, petite fleur des villes
Ô combien, t'admirer il me serait facile
Tant ils sont beaux, les chemins que tu dessines
Je tournoie et m'enivre de tes songes
car en respirant la terre, et ces mépris immondes
Je pourrai croire que beauté, n'est de ce monde.
Celle qui m'a vu naître un matin d'été
Ils ne comprennent que le trépas
Alors que ta beauté n'est pas là
Je me souviens de ces vols aux confins
qui, jadis, soulageaient mes chagrins
Je me souviens de ces contrées fertiles
qui, serpentaient sous mes ailes agiles
Je te regarde, toi, petite fleur des villes
Ô combien, t'admirer il me serait facile
Tant ils sont beaux, les chemins que tu dessines
Je tournoie et m'enivre de tes songes
car en respirant la terre, et ces mépris immondes
Je pourrai croire que beauté, n'est de ce monde.
Libellés :
Textes sous Copyright. 30/01/2010
dimanche 27 décembre 2009
Petite fleur
Petite fleur, que te dis la vie ?
Petite fleur, meurs-tu dans l'oubli ?
Qu'il est tentant le vent du printemps !
Qu'il est beau le temps des serments !
Petite fleur, vibres-tu à midi ?
Petite fleur, pleures-tu quand il te fuit ?
Qu'il est beau le regard des amants
Qu'il est chaud, le corps du prétendant
Petite fleur, penses-tu que tout fini ?
Petite fleur, béni le temps sans soucis
Qu'il est frais le souffle des départs
Qu'il est froid le vent du désespoir
Petite fleur, parfumeras-tu ma vie ?
Petite fleur, penses-tu encore à lui ?
Qu'il est doux de sentir tes pétales sur ma peau
Qu'il est futile de croire à ce tableau.
Petite fleur, meurs-tu dans l'oubli ?
Qu'il est tentant le vent du printemps !
Qu'il est beau le temps des serments !
Petite fleur, vibres-tu à midi ?
Petite fleur, pleures-tu quand il te fuit ?
Qu'il est beau le regard des amants
Qu'il est chaud, le corps du prétendant
Petite fleur, penses-tu que tout fini ?
Petite fleur, béni le temps sans soucis
Qu'il est frais le souffle des départs
Qu'il est froid le vent du désespoir
Petite fleur, parfumeras-tu ma vie ?
Petite fleur, penses-tu encore à lui ?
Qu'il est doux de sentir tes pétales sur ma peau
Qu'il est futile de croire à ce tableau.
Libellés :
Textes sous Copyright. 27/12/2009
Inscription à :
Articles (Atom)