J'aime me voir dans ton regard
Celui qui dit, qu'il n'est point de hasard
Car l'éternité de ces moments là
Façonne à jamais mon souvenir de toi
Tes pas se déroulent comme un parchemin
Sur lequel on ne vit qu'un seul destin
Celui d'avoir croisé tes doutes momentanés
Et mes espoirs un peu trop hâtés
Puis vient le temps des questions
Celles qui ancrent les évidences
Celles qui jettent l'incandescence
Et qui te soude à moi, au fond
Ta présence devient plus rapprochée
Car tu ne peux plus te dissimuler
Derrière les convenances établies
Sinon c'est croire, qu'un jour on oubli.
jeudi 29 octobre 2009
dimanche 11 octobre 2009
A toi, soldat
Tes pas scellent dans ce sol rocailleux
La volonté d'un destion ô combien coûteux
Ta vie tu la voulais tellement différente
Que te voila, aujourd'hui, t' agrippant à la pente
Tu te dis que bientôt, il ne faudra faillir
Tu ne penses qu'aux grands destins, qu'il ne faudra salir
Tu perçois le regard attentif de ta famille
Qui ne croît pas aux fins de pacotille
Et c'est sans doute dans cette solitude intérieure
Que tu puises les ressources d'une vie meilleure
Car le silence de la bataille te guette
Toi, qui va au delà de toutes les crêtes
Elle n'a toujours pas compris que tu la quittes
Toi, qui crois que servir, vaut mieux qu'un rîte
Et, c'est les yeux scrutant une dernière fois le ciel
Que tu comprends que la vie est belle, même sans elle.
La volonté d'un destion ô combien coûteux
Ta vie tu la voulais tellement différente
Que te voila, aujourd'hui, t' agrippant à la pente
Tu te dis que bientôt, il ne faudra faillir
Tu ne penses qu'aux grands destins, qu'il ne faudra salir
Tu perçois le regard attentif de ta famille
Qui ne croît pas aux fins de pacotille
Et c'est sans doute dans cette solitude intérieure
Que tu puises les ressources d'une vie meilleure
Car le silence de la bataille te guette
Toi, qui va au delà de toutes les crêtes
Elle n'a toujours pas compris que tu la quittes
Toi, qui crois que servir, vaut mieux qu'un rîte
Et, c'est les yeux scrutant une dernière fois le ciel
Que tu comprends que la vie est belle, même sans elle.
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11/10/2009,
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samedi 3 octobre 2009
La vie s'enfuie
Je cherche sur ce visage méconnu
Les traits d'une adolescence perdue
Je cherche dans ce regard bleuté
Les larmes qui m'ont souvent bercées
Et si je n'étais pas ce que je vois
Alors au moins, je garderai la foi
Celle qui a nourrie mon enfance
Celle dont je cherche encore le sens
A l'heure des premiers constats
Bien avant ceux de l'au-delà
On se rejouit de petites victoires
Celles qui nous aident, face au mirroir
Je constate un vécu de folles passions
Celles qui embrasent mes rèves profonds
Celles qui me dictent d'avancer toujours
Alors que l'on vit tous, un compte à rebours.
Les traits d'une adolescence perdue
Je cherche dans ce regard bleuté
Les larmes qui m'ont souvent bercées
Et si je n'étais pas ce que je vois
Alors au moins, je garderai la foi
Celle qui a nourrie mon enfance
Celle dont je cherche encore le sens
A l'heure des premiers constats
Bien avant ceux de l'au-delà
On se rejouit de petites victoires
Celles qui nous aident, face au mirroir
Je constate un vécu de folles passions
Celles qui embrasent mes rèves profonds
Celles qui me dictent d'avancer toujours
Alors que l'on vit tous, un compte à rebours.
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