Petite fleur, que te dis la vie ?
Petite fleur, meurs-tu dans l'oubli ?
Qu'il est tentant le vent du printemps !
Qu'il est beau le temps des serments !
Petite fleur, vibres-tu à midi ?
Petite fleur, pleures-tu quand il te fuit ?
Qu'il est beau le regard des amants
Qu'il est chaud, le corps du prétendant
Petite fleur, penses-tu que tout fini ?
Petite fleur, béni le temps sans soucis
Qu'il est frais le souffle des départs
Qu'il est froid le vent du désespoir
Petite fleur, parfumeras-tu ma vie ?
Petite fleur, penses-tu encore à lui ?
Qu'il est doux de sentir tes pétales sur ma peau
Qu'il est futile de croire à ce tableau.
dimanche 27 décembre 2009
samedi 5 décembre 2009
Terre de vie
A toi qui nous vois grandir
Je voudrais te dire sans sourire
Qu'il n'est point de fatalité
Et que l'on va tous se réveiller
Lorsque je vois les oies sauvages
Qui hantent tous nos mirages
Il n'y a point de tristes destinées
Si ce n'est celles où l'on a pas aimé
En se mesurant à toi, on se découvre
Car tu n'est point qu'un caillou ensoleillé
Tu es le socle de ces personne agenouillées
Et ils ne savent pas, ô combien tu soufres
Sans toi, il n'y aurait de vie
Le savoir, c' est déjà comprendre
Le croire, c'est déjà entendre
Cette voix qui nous dit, vas-y.
Je voudrais te dire sans sourire
Qu'il n'est point de fatalité
Et que l'on va tous se réveiller
Lorsque je vois les oies sauvages
Qui hantent tous nos mirages
Il n'y a point de tristes destinées
Si ce n'est celles où l'on a pas aimé
En se mesurant à toi, on se découvre
Car tu n'est point qu'un caillou ensoleillé
Tu es le socle de ces personne agenouillées
Et ils ne savent pas, ô combien tu soufres
Sans toi, il n'y aurait de vie
Le savoir, c' est déjà comprendre
Le croire, c'est déjà entendre
Cette voix qui nous dit, vas-y.
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Textes sous Copyright. 06/12/2009
jeudi 19 novembre 2009
Les maux des mots
Les mots que l'on ne se dit pas
Les regards insidieux mais complices
Ne m'impose heureusement aucun supplice
Ils me façonnent plus, comme un forçat
Faut-il encore chercher les raisons de ce mépris
Alors qu'il y a eu tant de mains tendues refusées
Alors qu'il y a eu tant de complots affûtés
Et se perdre à nouveau sur les chemins de la vie
Il n'est d'avancées probantes et véritables
que celles qui conduisent l' homme à être affable
Il n'est d'opinions bien fondées
Que celles qui permettent de s' élever
Et dans le ciel étoilé où je me ballade
J' oublie un peu ce monde de marbre.
Les regards insidieux mais complices
Ne m'impose heureusement aucun supplice
Ils me façonnent plus, comme un forçat
Faut-il encore chercher les raisons de ce mépris
Alors qu'il y a eu tant de mains tendues refusées
Alors qu'il y a eu tant de complots affûtés
Et se perdre à nouveau sur les chemins de la vie
Il n'est d'avancées probantes et véritables
que celles qui conduisent l' homme à être affable
Il n'est d'opinions bien fondées
Que celles qui permettent de s' élever
Et dans le ciel étoilé où je me ballade
J' oublie un peu ce monde de marbre.
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Textes sous Copyright. 19/11/2009
vendredi 13 novembre 2009
Le promeneur de la nuit
Il s'en va marchant sous la pluie
Car on meurt toujours si on oubli
Il s'en va, égrenant le temps, la vie,
Car ses pensées sont bien trop réfléchies
Ces pieds là, tracent un chemin incertain
Car il est des jours, où on croît à la fin
Ces yeux là, cherchent en l'inconnu la vérité
Celle qu'on ose pas souvent affronter
Puis soudain, son regard s'élève à l'est
Et fixe cette voûte qu'on dit céleste
Le promeneur respire enfin cette paix
Celle qui soulage souvent les cœurs défaits
Car les étoiles ont ceci de merveilleux
C'est qu'elles illuminent les cœurs, les yeux,
Et quiconque ose regarder un peu plus loin
Découvre la beauté des éternels confins.
Car on meurt toujours si on oubli
Il s'en va, égrenant le temps, la vie,
Car ses pensées sont bien trop réfléchies
Ces pieds là, tracent un chemin incertain
Car il est des jours, où on croît à la fin
Ces yeux là, cherchent en l'inconnu la vérité
Celle qu'on ose pas souvent affronter
Puis soudain, son regard s'élève à l'est
Et fixe cette voûte qu'on dit céleste
Le promeneur respire enfin cette paix
Celle qui soulage souvent les cœurs défaits
Car les étoiles ont ceci de merveilleux
C'est qu'elles illuminent les cœurs, les yeux,
Et quiconque ose regarder un peu plus loin
Découvre la beauté des éternels confins.
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Textes sous Copyright. 13/11/2009
jeudi 29 octobre 2009
Rencontre
J'aime me voir dans ton regard
Celui qui dit, qu'il n'est point de hasard
Car l'éternité de ces moments là
Façonne à jamais mon souvenir de toi
Tes pas se déroulent comme un parchemin
Sur lequel on ne vit qu'un seul destin
Celui d'avoir croisé tes doutes momentanés
Et mes espoirs un peu trop hâtés
Puis vient le temps des questions
Celles qui ancrent les évidences
Celles qui jettent l'incandescence
Et qui te soude à moi, au fond
Ta présence devient plus rapprochée
Car tu ne peux plus te dissimuler
Derrière les convenances établies
Sinon c'est croire, qu'un jour on oubli.
Celui qui dit, qu'il n'est point de hasard
Car l'éternité de ces moments là
Façonne à jamais mon souvenir de toi
Tes pas se déroulent comme un parchemin
Sur lequel on ne vit qu'un seul destin
Celui d'avoir croisé tes doutes momentanés
Et mes espoirs un peu trop hâtés
Puis vient le temps des questions
Celles qui ancrent les évidences
Celles qui jettent l'incandescence
Et qui te soude à moi, au fond
Ta présence devient plus rapprochée
Car tu ne peux plus te dissimuler
Derrière les convenances établies
Sinon c'est croire, qu'un jour on oubli.
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Textes sous Copyright. 29/10/2009
dimanche 11 octobre 2009
A toi, soldat
Tes pas scellent dans ce sol rocailleux
La volonté d'un destion ô combien coûteux
Ta vie tu la voulais tellement différente
Que te voila, aujourd'hui, t' agrippant à la pente
Tu te dis que bientôt, il ne faudra faillir
Tu ne penses qu'aux grands destins, qu'il ne faudra salir
Tu perçois le regard attentif de ta famille
Qui ne croît pas aux fins de pacotille
Et c'est sans doute dans cette solitude intérieure
Que tu puises les ressources d'une vie meilleure
Car le silence de la bataille te guette
Toi, qui va au delà de toutes les crêtes
Elle n'a toujours pas compris que tu la quittes
Toi, qui crois que servir, vaut mieux qu'un rîte
Et, c'est les yeux scrutant une dernière fois le ciel
Que tu comprends que la vie est belle, même sans elle.
La volonté d'un destion ô combien coûteux
Ta vie tu la voulais tellement différente
Que te voila, aujourd'hui, t' agrippant à la pente
Tu te dis que bientôt, il ne faudra faillir
Tu ne penses qu'aux grands destins, qu'il ne faudra salir
Tu perçois le regard attentif de ta famille
Qui ne croît pas aux fins de pacotille
Et c'est sans doute dans cette solitude intérieure
Que tu puises les ressources d'une vie meilleure
Car le silence de la bataille te guette
Toi, qui va au delà de toutes les crêtes
Elle n'a toujours pas compris que tu la quittes
Toi, qui crois que servir, vaut mieux qu'un rîte
Et, c'est les yeux scrutant une dernière fois le ciel
Que tu comprends que la vie est belle, même sans elle.
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11/10/2009,
Textes sous Copyright.
samedi 3 octobre 2009
La vie s'enfuie
Je cherche sur ce visage méconnu
Les traits d'une adolescence perdue
Je cherche dans ce regard bleuté
Les larmes qui m'ont souvent bercées
Et si je n'étais pas ce que je vois
Alors au moins, je garderai la foi
Celle qui a nourrie mon enfance
Celle dont je cherche encore le sens
A l'heure des premiers constats
Bien avant ceux de l'au-delà
On se rejouit de petites victoires
Celles qui nous aident, face au mirroir
Je constate un vécu de folles passions
Celles qui embrasent mes rèves profonds
Celles qui me dictent d'avancer toujours
Alors que l'on vit tous, un compte à rebours.
Les traits d'une adolescence perdue
Je cherche dans ce regard bleuté
Les larmes qui m'ont souvent bercées
Et si je n'étais pas ce que je vois
Alors au moins, je garderai la foi
Celle qui a nourrie mon enfance
Celle dont je cherche encore le sens
A l'heure des premiers constats
Bien avant ceux de l'au-delà
On se rejouit de petites victoires
Celles qui nous aident, face au mirroir
Je constate un vécu de folles passions
Celles qui embrasent mes rèves profonds
Celles qui me dictent d'avancer toujours
Alors que l'on vit tous, un compte à rebours.
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dimanche 20 septembre 2009
Obsessions
A tous ces petits pas que je ne ferai pas
A ton regard que je ne soutiendrai pas
A toi, qui vit tellement fort en moi
Je voudrai ne t'avoir jamais rencontrer, là-bas
Je cherche dans les cieux mon étoile
Je découvre tes oeuvres sur toile
J'ai mal de ne pouvoir agir
J'ai mal de te sentir partir
Je te découvre intérieurement belle
Seule entre le monde et le ciel
Tu me regardes égrener le temps
Celui qui passe et qui me rend savant
Mais mes pensées se tournent toujours vers toi
Je n'ai pas de bonheur sans que tu ne soit
Je voudrai tellement pouvoir me rapprocher
J'aimerai tellement que le destin veuille s'obstiner.
A ton regard que je ne soutiendrai pas
A toi, qui vit tellement fort en moi
Je voudrai ne t'avoir jamais rencontrer, là-bas
Je cherche dans les cieux mon étoile
Je découvre tes oeuvres sur toile
J'ai mal de ne pouvoir agir
J'ai mal de te sentir partir
Je te découvre intérieurement belle
Seule entre le monde et le ciel
Tu me regardes égrener le temps
Celui qui passe et qui me rend savant
Mais mes pensées se tournent toujours vers toi
Je n'ai pas de bonheur sans que tu ne soit
Je voudrai tellement pouvoir me rapprocher
J'aimerai tellement que le destin veuille s'obstiner.
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