A toi qui nous vois grandir
Je voudrais te dire sans sourire
Qu'il n'est point de fatalité
Et que l'on va tous se réveiller
Lorsque je vois les oies sauvages
Qui hantent tous nos mirages
Il n'y a point de tristes destinées
Si ce n'est celles où l'on a pas aimé
En se mesurant à toi, on se découvre
Car tu n'est point qu'un caillou ensoleillé
Tu es le socle de ces personne agenouillées
Et ils ne savent pas, ô combien tu soufres
Sans toi, il n'y aurait de vie
Le savoir, c' est déjà comprendre
Le croire, c'est déjà entendre
Cette voix qui nous dit, vas-y.
C'est très joli.
RépondreSupprimerMerci beaucoup.
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